Les mesures que vous prônez, nous les avons, pour l’essentiel, déjà prises, car vous les avez votées.
Face au terrorisme, il convient d’avoir une colonne vertébrale, de la garder, de la protéger, de la renforcer. Notre droit est cette colonne vertébrale : c’est grâce à lui, grâce à elle, que nous nous tenons debout. C’est en conservant cette ligne de conduite dans la lutte contre le terrorisme que nous éviterons ce que Camus appelait « un avenir irréparable ».
Le 14/10/2016 à 16:10, laïc a dit :
Le droit n'est pas appliqué, M. Urvoas a lui-même reconnu qu'il ne savait pas ce qu'est une prédication subversive, moyen pratique de ne pas la poursuivre et la condamner...
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