…pour exister notamment dans le cadre de vos primaires ? Je n’ose le croire. Et pourtant, vous-mêmes ne savez pas très bien dans quelle direction vous souhaitez aller.
Il faut aller dans les directions que je préconise. De toutes façons il n'y en a pas d'autres, et les événements scolaires que nous connaissons confirment mon approche de la question. L'éducation à la citoyenneté contre les dérives violentes de la religion, surtout de l'islam, voilà ce qu'il faut faire.
Y a-t-il des débats en classe sur la circoncision ? Le professeur pose-t-il comme question aux élèves en classe : "trouvez-vous normal que l'on puisse mutiler un bébé au nom d'une religion qu'il n'a pas choisie ?"
Il faut libérer la parole, libérer la pensée et la réflexion, et par là les jeunes seront plus civilisés et éduqués; ils auront du recul par rapport à leur propre religion, ce qui évitera de les enfermer dans le sectarisme intolérant et haineux.
Maintenant, si on ne fait rien, si on ne critique jamais en cours les religions dans leur aspect illégal, alors la liberté de religion se transformera vite fait en liberté de haïr et de mépriser l'autre ("je ne te sers pas la main car tu es une femme..."), en liberté d'être violent si les lois de sa religion sont mises en cause.
Je le redis, tout passe par l'éducation, mais si les jeunes sentent que les profs ont peur d'aborder tel ou tel sujet, alors ils se sentiront conforter dans leur intégrisme par cette peur, et la République sera en danger de ce fait.
Vous trouvez ce commentaire constructif : nonneutreoui
Le 19/10/2016 à 09:06, laïc a dit :
Il faut aller dans les directions que je préconise. De toutes façons il n'y en a pas d'autres, et les événements scolaires que nous connaissons confirment mon approche de la question. L'éducation à la citoyenneté contre les dérives violentes de la religion, surtout de l'islam, voilà ce qu'il faut faire.
Y a-t-il des débats en classe sur la circoncision ? Le professeur pose-t-il comme question aux élèves en classe : "trouvez-vous normal que l'on puisse mutiler un bébé au nom d'une religion qu'il n'a pas choisie ?"
Il faut libérer la parole, libérer la pensée et la réflexion, et par là les jeunes seront plus civilisés et éduqués; ils auront du recul par rapport à leur propre religion, ce qui évitera de les enfermer dans le sectarisme intolérant et haineux.
Maintenant, si on ne fait rien, si on ne critique jamais en cours les religions dans leur aspect illégal, alors la liberté de religion se transformera vite fait en liberté de haïr et de mépriser l'autre ("je ne te sers pas la main car tu es une femme..."), en liberté d'être violent si les lois de sa religion sont mises en cause.
Je le redis, tout passe par l'éducation, mais si les jeunes sentent que les profs ont peur d'aborder tel ou tel sujet, alors ils se sentiront conforter dans leur intégrisme par cette peur, et la République sera en danger de ce fait.
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui