L'objectif de cet amendement est que notre commission envoie un signal fort concernant la fermeture des centrales à charbon, qui sont des installations d'un autre temps. Il n'en reste plus que quatre en France, d'ores et déjà largement sous-utilisées au demeurant, mais dont l'absence de prix plancher renforce artificiellement la compétitivité apparente.
Certes, cela pose le problème du devenir des salariés de ces centrales, mais il s'agit pour l'essentiel de personnels EDF, qui ne risquent donc pas d'être licenciés, le groupe étant capable de les reclasser en son sein.
Notre commission s'honorerait de faire, enfin, le choix de la fermeture définitive des centrales à charbon dans notre pays.