Notre collègue Charles de Courson a raison de poser régulièrement la question qu'il vient de réévoquer. Je l'ai également posée, même si mes conclusions ne sont pas aussi extrêmes.
En tout cas, ces analyses doivent être révisées : une part de notre déficit conjoncturel devrait certainement être requalifiée en déficit structurel. En négligeant le déficit structurel, on se raconte des histoires : on se dit qu'il suffit de faire le dos rond en attendant que ça passe et que le déficit conjoncturel disparaisse, mais ça ne passe pas !