Il faut faire attention à ne pas voter un amendement d'émotion. Nous sommes tous derrière nos soldats, mais tous également en faveur de la justice fiscale. Si l'on veut imposer le plus justement possible les différentes catégories de la population, il faut veiller à ne pas adopter hâtivement un tel amendement. Je suggère que nous attendions d'examiner la seconde partie du projet de loi de finances pour arrêter notre position.