Je ne peux m'empêcher de souligner que ces amendements correspondent à la position que j'ai défendue désespérément dans l'hémicycle à l'époque. J'ai le souvenir de la réponse du ministre et d'un échange assez vif avec l'un de mes collègues du groupe. Puisqu'il n'était pas possible de faire une omelette sans casser des oeufs, il fallait, pour permettre à des start-up de se développer, défiscaliser l'attribution d'actions gratuites du CAC 40 !
Après deux ans d'expérimentation de ce dispositif, qui ont consacré l'explosion de la distribution d'actions gratuites, je suis absolument ravie de ce retour à la raison et de la prise de conscience que ce dispositif ne s'adressait pas aux start-up mais à quelques grands groupes et holdings, que je n'ai pas besoin de citer.