M. Lefebvre est toujours prompt à discuter mes propositions sur le fond... Je prends sa métaphore animalière comme un compliment, d'autant qu'il en existe d'autres : on peut être un pingouin, un dindon ou un blaireau !
Je maintiens et j'assume ma position. Le débat sur la fiscalité n'interdit pas les positions de principe.
Je suis peut-être un éléphant dans un magasin de porcelaine, mais je conteste une politique qui jusqu'à présent n'a pas suscité l'adhésion de celles et ceux qui nous ont fait confiance. Je défends des principes – c'est aussi cela la politique pour un éléphant qui ne veut pas finir comme un blaireau !