L'objectif de ce surinvestissement est de relancer l'économie et l'activité des entreprises. C'est très bien, mais, si l'on arrive à sélectionner ces projets en fonction de l'impact écologique qu'ils peuvent avoir, si l'on cumule l'économie, l'écologie et la santé, on a tout juste.
Comme l'a dit Jean-Louis Gagnaire, la loi relative à la transition énergétique a beaucoup d'avantages, mais, dans le domaine des transports, elle est orientée essentiellement vers l'électrique. Il faut envisager une autre dimension, telle que le GNV et le bioGNV – soit une énergie fossile et une énergie renouvelable. Le GNV prépare des alternatives écologiques, ce qui n'est pas le cas du diesel. Derrière le GNV, il y a du biogaz, qui va sans doute se développer énormément dans les années à venir.