Ma commune, qui compte 12 000 habitants, s'étend sur 1 200 hectares, dont deux friches de 380 hectares en tout : la première existe depuis la fermeture en 1982 d'une manufacture d'allumettes, et la seconde depuis 2013. Une telle disposition favoriserait l'implantation d'investisseurs et ne produirait aucun manque à gagner, puisque ces terrains sont aujourd'hui inutilisés.