J'hésite entre deux possibilités : la première consisterait à appuyer de manière constructive le travail pédagogique de notre rapporteure générale, tandis que la seconde consiste à défendre le bénéfice de ce crédit d'impôt pour l'ensemble du secteur des spectacles vivants, y compris l'activité de cabaret qui est au coeur de l'attractivité touristique de notre pays et qui connaît une chute d'environ 40 % de son chiffre d'affaires.