Les associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (AASQA), qui accomplissent un travail considérable, sont financées par l'État et par les personnes morales qui en sont membres. Or leur situation est très fragile. L'amendement I-CF110 vise à étendre davantage leur financement en ouvrant la possibilité pour les entreprises volontaires de financer des études sur la qualité de l'air selon un mécanisme de mécénat. Je rappelle que les autorités européennes nous ont adressé des reproches concernant la qualité de l'air en France.