…puisqu’il vise avant tout à permettre, grâce à une imposition différée, à des galeristes, à des antiquaires, à des marchands, de prendre des risques en achetant des oeuvres d’art, notamment auprès d’artistes français vivants, de constituer et de renouveler des stocks.
Je voulais rappeler l’esprit de cette démarche, qui est la traduction d’un travail effectué au sein de la passionnante mission d’information sur le marché de l’art, présidée par Michel Herbillon et dont le rapporteur est Stéphane Travert. Elle vise à aider le marché de l’art français à résister à la concurrence internationale, qu’elle vienne d’outre-Manche, d’outre-Atlantique ou, plus loin, de Chine, notamment de Shanghai.