Monsieur Issindou, l'industrie pharmaceutique française a perdu 10 000 emplois dans les cinq dernières années – soit un recul de 10 %. De plus la croissance du secteur est aujourd'hui de zéro alors qu'il enregistre une progression de 6 % au Royaume-Uni, ou de 10 % en Espagne.
Il faut éviter de taxer une croissance déjà nulle – elle était négative l'année dernière –, et tenter de donner un peu de souplesse en réduisant le taux proposé. C'est l'objet de notre amendement.