Pour 2016, le comité d'alerte a annoncé que les marges de manoeuvre seraient serrées, mais n'a absolument pas évoqué de dérapages. Pour 2017, il a souligné que la conjonction de certaines nouvelles mesures, du dynamisme des dépenses de santé, notamment en ville, et de l'évolution du coût du médicament, en particulier les médicaments anticancéreux et les biomédicaments, risquait de poser problème.