Je termine, monsieur le président, en essayant d'être bref, si toutefois il est permis d'exprimer des propos libres.
J'ai également été surpris par les propos qu'a tenus tout à l'heure madame la garde des sceaux sur le sens de l'éducation, propos qui m'ont rappelé ceux du ministre de l'éducation nationale. C'est aussi l'occasion de rappeler que, de notre point de vue, les premiers éducateurs, ce sont les parents ; ce ne sont ni l'État, ni l'école, ni les services sociaux, ni qui que ce soit d'autre. Si l'on est d'accord avec cette hypothèse, c'est la volonté des parents qui prime dans toutes les décisions qui concernent les enfants.