Chers collègues, aucun élément dans la rédaction de votre amendement précédent ne laissait supposer que vous réserviez la prise en compte de la volonté des parents, réelle ou supposée, aux cas de décès. Il s'appliquait donc à tous les enfants adoptés, et c'est pourquoi il était aberrant. Rédigez mieux vos amendements.
Vous placez l'intérêt de l'enfant au-dessus de tout. Mais c'est déjà le droit existant ! Toute la procédure d'adoption et tout notre droit de l'adoption sont tournés vers l'intérêt de l'enfant. C'est le cas pour la procédure d'agrément, c'est le cas de l'apparentement, c'est-à-dire lorsque l'on unit une famille et un enfant, c'est aussi le cas pour le jugement. Tout notre droit est tourné vers l'intérêt de l'enfant.