Les solutions existent ; elles peuvent être améliorées et nous ferons des propositions. Mais j'appelle l'attention sur le fait que l'automatisme voulu dans votre projet pose le problème suivant : si cela ne marche pas aujourd'hui, c'est parce que le juge considère qu'il y a des obstacles. Or, si le juge considère qu'il y a un obstacle à la délégation ou au partage de l'autorité parentale, il y a peut-être de bonnes raisons à cela. Mépriser ces raisons n'est pas une bonne chose pour l'enfant.