L'organisation du soutien se stabilise en 2017 ; on poursuit la logique de simplification et de mise en cohérence de l'ensemble du système. L'objectif principal est de préserver la qualité et la disponibilité du soutien, tout en cherchant à optimiser la mutualisation et le recours à des marchés pluriannuels. Mais l'année 2017 sera également marquée par un accroissement des effectifs à soutenir. Que pensez-vous de ce gap ? Les effectifs des groupements de soutien ne sont pas en hausse, c'est le moins que l'on puisse dire. Le besoin accru de sous-traitance que cela va entraîner sera-t-il compatible avec la sécurité de nos forces et des sites ? Je me suis rendu à la Direction de la protection des installations, des moyens et activités de la défense (DPID), qui accomplit un travail remarquable dans un pays où la culture du risque n'est pas encore ce qu'elle devrait être. Avons-nous les moyens de revenir en arrière ?