Les deux rapports sont extrêmement intéressants, en particulier au regard de leurs propositions. Monsieur le rapporteur, nous ne pouvons qu'approuver la nécessité de mener des efforts dans le domaine de la recherche. Il serait bon d'encourager les patients atteints de diabète à participer à la recherche, par le biais d'essais cliniques, dites-vous. Cela paraît judicieux, mais qui pourrait les y inciter ? Leur médecin ? Des campagnes d'information ?
Madame la rapporteure, l'augmentation du nombre de boursiers ne peut que nous réjouir puisqu'elle va dans le sens de la démocratisation de l'accès aux études supérieures. Leur champ d'application, tel que vous l'avez évoqué, évolue, en particulier pour les familles les moins favorisées.
Les établissements supérieurs dans le domaine de l'art sont aussi concernés par l'obtention de bourses pour leurs étudiants, et je voudrais vous soumettre le cas de l'École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre (ENSATT), à Lyon. Cet établissement accueille seulement soixante-huit candidats au prochain concours. La possibilité d'obtenir une bourse est importante, mais l'inscription reste à la charge de l'établissement. A-t-on observé d'autres cas similaires ? Comment remédier à cette situation ?