Amiral, vous avez évoqué très rapidement les deux missions auxquelles nous participons en Méditerranée pour traiter le problème des migrants et du contrôle des passeurs. Les médias s'en font constamment l'écho, mais ont tendance à masquer la teneur de notre action. Il semble que les crédits mis à disposition par l'Union européenne soient relativement faibles. Pourriez-vous nous apporter des précisions à ce sujet ?
Par ailleurs, les quelque deux milliards d'euros de crédits alloués à l'action « Préparation des forces navales » sont-ils suffisants pour garantir l'efficacité du plan « Horizon Marine 2025 », qui vise non seulement à préserver la capacité opérationnelle de ces forces, mais aussi à rationaliser leur organisation et leur mode de fonctionnement ?