La distinction entre les enfants de parents morts en déportation et les autres n'est-elle pas un peu spécieuse ? Pourquoi en effet indemniser l'enfant d'un résistant mort en déportation mais pas celui d'un résistant torturé sur le sol français ?
D'autre part, je répète que ce qui coûte cher, c'est l'indemnisation en capital des pupilles. En revanche, une indemnisation sous forme de rente serait beaucoup moins coûteuse et plus facile à mettre en oeuvre.