Vous avez été nombreux à évoquer les incertitudes vis-à-vis de l'avenir de Nexter et des sites en France. Cela a toujours été pour nous une préoccupation majeure, d'autant plus à la suite de cet accord avec les Allemands que nous jugeons insatisfaisant.
Nous avons besoin des ouvriers de l'État. L'évolution de leur formation va-t-elle dans le bon sens actuellement ?