Je voudrais répondre aussi à M. Sebaoun : l’aiguille de l’injection contre la grippe est tellement fine que même en cas d’anti-coagulation, la vaccination peut être réalisée.
Troisième point : quand des patients – qui peuvent être des jeunes gens de mon âge ! – reçoivent un bon de vaccination, celui-ci vaut prescription médicale. Ils peuvent donc être vaccinés.
Un mot enfin sur la seconde expérimentation proposée par Mme la ministre. Ce dispositif n’a pas été examiné par la commission. Je ne donnerai donc pas d’avis au nom de celle-ci. Pour ma part, je trouve que la symétrie n’est pas complète entre les deux expérimentations. J’en appellerai donc à votre sagesse.