Le même. Je comprends la préoccupation de M. Robiliard mais à aucun moment il ne s’agit de contester le rôle des psychologues hospitaliers dans la prise en charge des enfants. Le problème, aujourd’hui, c’est qu’un grand nombre d’enfants ou de jeunes ne peuvent pas être pris en charge en ville faute – disons-le clairement – de remboursements et de prise en charge financière des prestations.
Au-delà de l’argument de fond donné par Mme la rapporteure, j’ajoute que lorsque l’on se rend dans un établissement hospitalier, normalement, on ne paie pas. Il n’y a aucune raison pour inclure les psychologues hospitaliers.