Intervention de Michèle Delaunay

Séance en hémicycle du 27 octobre 2016 à 21h30
Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2017 — Assurance maladie

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle Delaunay, rapporteure de la commission des affaires sociales :

Très simplement, parce que la démarche est différente. Un enfant est amené par ses parents chez son médecin qui, « somaticien » de formation, sait néanmoins par définition et par expérience déceler que ce gaminou ne va pas bien. S’il décèle des signes inquiétants – autisme, maladie grave – il n’est pas question de participer à l’expérimentation, mais s’il considère que ce malaise est peut-être passager, qu’il n’est pas grave, une prise en charge par un psychologue clinicien à travers un certain nombre de consultations forfaitaires est possible. A l’issue des consultations, il revoit le patient et, dans bien des cas – puisqu’il s’agit a priori de maladies ou d’affections qui ne sont pas lourdes – il constate que l’enfant va mieux – je m’en réjouis pour lui

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