Je me demande si ces amendements ne sont pas tombés, dans la mesure où ils viennent à la suite d’une distinction que nous avions faite au départ entre l’identification et l’évaluation, et que nous avons finalement abandonnée. À mon sens, ces amendements sont donc tombés. Si tel n’est pas le cas, je crois qu’outre l’argument d’opportunité que vient de développer la ministre, il faut quand même remarquer que, dans certaines régions, on manque cruellement de psychiatres, et plus encore de pédopsychiatres, et qu’il ne serait pas prudent de s’enfermer dans ces deux spécialités.