Il faudra comptabiliser tout ce que le FIR devra prendre en charge !
Madame la ministre, vous nous avez parlé des étudiants. Je vous suis sur ce point, mais il est aussi question, dans votre amendement, des médecins spécialisés en médecine générale et des assistants spécialistes à temps partiel au sein d’un établissement public de santé. J’en déduis que ce statut de praticien territorial médical de remplacement ne concernera pas que les étudiants.
Comme Mme Le Houerou, je me demande à quoi correspond le « niveau minimal d’activité dans les zones sous-denses » auquel s’engageront les médecins remplaçants. Qu’allons-nous exiger de ces derniers en contrepartie de ce statut ? En effet, la pratique du remplacement devient un mode d’exercice prisé par certains médecins libéraux. Qu’est-ce qu’un « niveau minimal d’activité dans les zones sous-denses » ?