Madame la ministre, je voudrais que vous soyez convaincue que, dans les secteurs que j’évoque, toutes les dispositions prévues, comme les maisons médicales, les incitations financières ou les stages destinés aux jeunes, ont été mis en oeuvre. Peut-être a-t-on évité, grâce à ces mesures, un drame encore plus grand, mais on n’a pas pour autant résolu le problème par ces moyens : il faut changer de dimension. L’incitation financière ne suffit plus, car l’arbitrage entre le temps et l’argent que font les jeunes médecins qui s’installent n’est peut-être pas celui que faisaient leurs prédécesseurs.
Un autre système est donc nécessaire. Nous vous proposons celui qui s’applique efficacement aux pharmacies.