Cet amendement de suppression nous priverait de plusieurs mesures très importantes : le financement intermédiaire des consultations pluridisciplinaires qui, par principe, ne peuvent être qu’hospitalières, parce qu’elles permettent de réunir des experts sur les questions posées ; la tarification à l’activité dans les établissements d’insularité ; enfin, la prise en charge du transport des enfants victimes de mort subite. En ce qui concerne les soins critiques, rien ne sera fait sans concertation ou dans la précipitation. Nous pouvons être rassurés. La commission est donc totalement défavorable à cet amendement de suppression.