Mais ce dialogue doit être franc. Il doit être clair. En particulier, il est nécessaire de rappeler que la Turquie fait partie du Conseil de l’Europe, comme nous, ce qui implique le respect de certaines valeurs fondamentales, par exemple le refus de la peine de mort.
Nous devons faire comprendre à la Turquie, qui se replie aujourd’hui, qu’elle n’a aucun intérêt à agir ainsi. Si elle veut respecter le droit, elle doit commencer par respecter l’État de droit.