Vous nous avez fait une présentation abondante, buissonnante, d'une grande diversité d'objectifs et d'une multiplicité d'actions possibles alors qu'en face, nous les savons, vos ressources sont contraintes. Pour faire de l'AFD un véritable instrument de politique d'influence, le modèle britannique – la définition plus précise, plus sélective, de pays-cibles, de types de missions, par exemple concernant l'Afrique – vous semble-t-il une source d'inspiration ?
Vous avez été très prolixe sur la diversité des actions possibles, mais vous n'avez pas du tout évoqué le développement agricole, qui semble pourtant devoir être une action prioritaire, en particulier dans le Sahel.
Au-delà de la création d'un instrument dédié, comme vous l'avez évoqué, que pensez-vous de la constitution de fonds fiduciaires pour réaliser des opérations mobilisant des ressources multilatérales tout en en restant le pilote – ce qui permet de les bilatéralités, en quelque sorte ?