Non : il faut être prêt à assumer un manque à gagner de 5 à 10 milliards en 2018, quel que soit le gouvernement en fonction à cette date.
Imaginons, monsieur le président, que nous trouvions un accord sur l'application d'un taux prenant en compte les réductions et crédits d'impôt : l'opposition serait-elle alors prête à accepter le principe du prélèvement à la source ?