J'ai toujours dit qu'il fallait considérer le jeu vidéo comme le cinéma. C'est ce que propose cet amendement. On entend souvent ici l'argument de la préservation de l'emploi ; or les entreprises françaises du jeu vidéo prévoient d'embaucher 1 000 à 2 000 personnes dans les deux années à venir. Nous sommes puissants dans ce secteur !