Pour en revenir au bilan, la situation est effectivement plus saine qu’auparavant. J’ai parlé des ressources exceptionnelles : elles n’existent quasiment plus. J’ai parlé des OPEX : elles ont été remboursées à l’euro près tout au long de ces cinq ans, alors qu’antérieurement cela donnait lieu à des discussions, voire à une non-couverture des opérations extérieures. Enfin, la masse salariale est sous contrôle alors que, jusqu’en 2012, elle était en augmentation malgré une déflation des effectifs.