Au début de la loi de programmation militaire, c’était 3 milliards, monsieur Fromion. Eh bien j’ai tenu, alors qu’auparavant les reports constituaient une « bosse » que l’on ne cessait de pousser.
Avec toute la modestie nécessaire, je considère donc que ce bilan n’est finalement pas si négatif que cela.