Et nous estimons que l’engagement de la France de consacrer 2 % du PIB au budget de la défense, selon la norme OTAN à l’échéance de 2025 est une nécessité. Nous devons avancer progressivement vers cet objectif. Mais l’impératif de court terme sera de répondre à nos nouveaux engagements, y compris, n’en déplaise à M. Candelier, au nécessaire renouvellement de nos outils de dissuasion.