On constate sur le terrain que les crédits ne suffisent pas du tout. Je reprends l'exemple du Cambodge. Les délégués consulaires de gauche et de droite me disent que pour rentrer dans l'enveloppe, les bourses avec une prise en charge supérieure à 50 % ont été réduites de 10 %. Cela ne semble pas grand-chose mais les Français dans ces pays vivent avec des petites retraites ou des petits contrats locaux. On respecte l'enveloppe en diminuant l'aide. Ceci est totalement artificiel.