Elle a permis d’avoir une carte plus socialement juste et des moyens d’action beaucoup plus efficaces, avec, je le rappelle, un effort budgétaire de près d’un demi-milliard d’euros pour l’éducation prioritaire.
Vous dites une chose qui est juste : c’est que notre réforme de 2014 a concerné les écoles et les collèges et qu’elle n’a pas encore concerné les lycées, qui seront à leur tour réformés, bien sûr, durant le prochain quinquennat que nous effectuerons.