Les citoyens ont l'impression, peut-être pas totalement à tort, que les élites politiques et administratives sont inféodées aux grands décideurs économiques, aux multinationales, aux paradis fiscaux. Si l'Union doit faire quelque chose, c'est aujourd'hui interroger une certaine forme de mondialisation. Le « noyau dur » que nous appelons de nos voeux doit se faire autour de la question sociale. Le social est au moins autant une priorité que la défense et la sécurité !
Le budget européen est devenu beaucoup trop faible et très dépendant des contributions des Etats. La taxe sur les transactions financières ne pourrait-elle pas être un petit signal positif et concret ?