Le problème que vous avez soulevé en matière de visas, monsieur le président, n'est pas spécifiquement azerbaïdjanais. On le rencontre partout : qu'aurait fait la France entre 1870 et 1914 si un membre du Congrès américain s'était rendu en Alsace-Lorraine ? Lorsqu'une personnalité se rend dans un territoire occupé par un autre pays, l'État qui considère que son territoire est occupé se méfie d'elle.