Vous voyez bien, mes chers collègues, que vos arguments sont fragiles et incohérents, et qu’ils ne tiennent pas une seconde si on les analyse un peu en profondeur.
Enfin, pourquoi serait-il si dramatique de demander aux jeunes médecins de s’installer dans des zones sous-dotées ? Ne doit-on pas quelques années de service à l’État à la sortie de Polytechnique ? N’est-ce pas aussi le cas à la sortie de l’École normale supérieure, après avoir reçu 20 000 euros par an pour suivre son cursus, madame Delaunay ?