Je vous remercie de votre réponse, monsieur le secrétaire d’État. Vous avez rappelé que beaucoup a déjà été fait, et c’est exact. En revanche, vous avez mis beaucoup de réserves dans votre réponse : non seulement vous soumettez l’engagement des travaux aux disponibilités budgétaires, mais de surcroît, le calendrier est de nouveau repoussé ! Je vous rappelle que l’État a pris des engagements il y a déjà longtemps, et que les travaux que vous évoquez comme pouvant être réalisés en 2018 auraient dû être faits en 2016.
Je compte vraiment sur vous, aussi bien pour les viaducs de Saint-Maurice et de Maisons-Alfort que pour les travaux envisagés à Charenton et à Joinville. Je vous rappelle qu’il s’agit là d’un « point noir du bruit » de la région Île-de-France. Ce ne sont pas 200 000 véhicules qui passent par jour dans ce secteur, monsieur le secrétaire d’État, mais 260 000, et la situation s’aggrave à cause de la fermeture des voies sur berges décidée par la maire de Paris.