Je suis là, d’une part, pour défendre, assumer l’action gouvernementale qui est la nôtre, et désormais, d’autre part, pour critiquer et combattre, en les regardant de très près – c’est normal, c’est le jeu de la démocratie, après une primaire réussie, je tiens à le souligner –, les arguments utilisés entre les deux tours et le projet que François Fillon dit vouloir pleinement appliquer.
Je pense à la suppression de 500 000 fonctionnaires, qui, selon Alain Juppé, n’est ni possible ni crédible.