C’est une injure faite aux entreprises françaises que de laisser penser qu’elles sont aujourd’hui dans un état pire que celui dans lequel vous les avez laissées, alors que vous savez très bien qu’elles ont retrouvé leurs marges de 2007 et un niveau d’investissement supérieur à celui que vous leur aviez permis d’atteindre.
Voilà pourquoi un débat est nécessaire, monsieur Woerth. Le débat démocratique, c’est la confrontation des points de vue ; ce n’est pas le mensonge.