Monsieur le député, vous avez dressé une liste de nombreux sujets qui préoccupent les agriculteurs. Je voudrais revenir sur deux ou trois points.
D’abord, pour ce qui concerne les marchés et des prix, je suis obligé de faire un constat : il y a quelques années, des décisions ont été prises par une majorité – c’est légitime –, engageant la France dans la suppression des quotas laitiers, voire sucriers.