Monsieur le député, permettez-moi tout d’abord de vous rafraîchir quelque peu la mémoire. En 2003, c’est par un amendement de Xavier Bertrand à la loi relative à la réforme des retraites, portée par François Fillon, que fut reconnue la pénibilité au travers d’une négociation au niveau des branches. Neuf ans plus tard, cette disposition de la loi n’était toujours pas appliquée.