Aujourd’hui, cette initiative française inspire l’Europe. D’un point de vue intellectuel, nous devons admettre qu’il existe un écart important entre notre texte et celui des sénateurs, qui se résume à du reporting – l’entreprise rapporte ce qu’elle fait et est incitée à faire mieux.
Pouvez-vous imaginer une sécurité routière qui relève, sur les autoroutes comme sur les chemins vicinaux, de la bonne volonté des conducteurs formés par des écoles bénévoles ou des établissements d’éducation populaire de conduite ?