Je rejoins la position du rapporteur, conforme à la tradition de notre droit.
Mais j’ajouterai, en tant que président de la mission d’information sur les moyens de Daesh – sujet peut-être éloigné de notre débat –, qu’au cours de nos travaux, nous avons eu l’occasion d’examiner le cas de Lafarge. Par principe, je suis réticent à ce que l’on cite, dans l’hémicycle, le nom des grandes entreprises françaises.