Mais enfin, c’est fait. Avec Kader Arif, rapporteur de la mission d’information, nous n’avons eu en main aucun élément de nature à mettre en doute, dans cette affaire, l’intégrité de la direction de Lafarge en Syrie. Je crois même pouvoir préciser que cette grande entreprise française est victime d’une instruction à charge. Les services de Bercy et ceux du ministère des affaires étrangères avaient été alertés dès l’origine des difficultés qu’elle rencontrait sur place. Je tenais à faire cette mise au point, pour éviter toute ambiguïté concernant ce très beau fleuron de notre industrie.