La démarche n’est pas seulement punitive mais carrément caricaturale. Partez plutôt du principe qu’il s’agit d’entreprises responsables, connues, qui obéissent à l’ensemble des traités internationaux et travaillent dans un milieu extrêmement concurrentiel !
Si la loi est votée, les entreprises françaises qui comptent travailler à l’étranger vont se poser beaucoup de questions avant de répondre à des appels d’offres internationaux, et leur décision ne sera pas neutre en termes d’emploi.